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Extraterrestrial: Le soulèvement partie 2, la bataille finale (in French)
Faria Da Cruz, Justine
Synopsis "Extraterrestrial: Le soulèvement partie 2, la bataille finale (in French)"
Quand le propulseur spatial atterrit, ce n'est pas sans secousses, il est entré en collision avec quelque chose. Mais on en sort vivants. Quand nos pieds touchent le sol, Davia me prend dans ses bras, je ne dis rien, elle non plus, mais je l'entends qui sanglote. L me donne une tape amicale dans le dos et passe devant nous.- Où nous trouvons-nous ? Demande Zola.- Dans une forêt, répond Zenta en consultant le livre dérobé à sa mère présumée. Elle a raison, il fait noir mais je distingue les grands arbres tout autour de nous, Zenta soupire et se met en route, je ne sais pas combien de temps nous allons devoir marcher mais je souhaiterais que ce ne soit pas trop long car je n'ai qu'une hâte c'est de m'allonger pour dormir. Pour oublier. Oublier le camp militaire où tout a commencé, oublier la mort de Malo, celle de ma mère et le fait que l'on abandonne son corps ici en pleine forêt. Je souffle comme pour m'insufflée une dernière dose de courage et avance. Au bout d'un long moment de marche, ce que je redoutais, du bruit me parvient aux oreilles, c'est... de la musique. Une sorte de musique qui est prohibée sur Matrem. Cette musique pousse à l'agitation. Soudain, sans que je ne m'en rende compte, mes pieds se posent sur un beau sable blanc et fin comme on en trouve chez nous. Si c'est encore chez nous. Davia me donne un coup de coude dans les côtes et quand je relève la tête, c'est un festival de couleurs: du vert, du jaune, du rouge, de l'orange, du bleu, de l'argenté. Des femmes portent des plumes et des bijoux merveilleux sur leur corps et sur leur tête. Elles dansent sur des plateformes qui roulent et les entraînent vers une foule en délire qui hurle, qui saute, qui rit. Davia croise mon regard. _ Mais où est-ce que l'on a atterri, fait-elle. Au loin, j'aperçois une statue qui a les bras ouverts et je me demande ce que c'est. L, Zenta, Ékaitz, Moraz, Zola et Bao se retournent vers nous. _ Souvenez-vous, jusqu'à ce que l'on trouve un endroit où passer la nuit, on reste ensemble, nous dit L. _ Bienvenue à Rio, poursuit Zenta. Rio.